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La RD 18 Chemin des Dames et une borne kilométrique Chemin des Dames (Aisne)
Borne kilomètrique sur la RD 18 - Chemin des Dames, août 2016
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Foire aux questions

Découvrez ci-dessous les questions fréquemment posées.
Si vous le souhaitez vous pouvez nous poser votre question, nous nous efforcerons d'y répondre dans les meilleurs délais.

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Pourquoi le Département de l'Aisne a-t-il souhaité créer le Mémorial virtuel ?

Le Mémorial Virtuel du Chemin des Dames est l'aboutissement d'un projet mis en œuvre par le Département de l'Aisne, avec l'appui de la Commonwealth War Graves Commission et du Volksbund für Deutsche Kriegsgräberfürsorge (les organismes britannique et allemand chargés de l'entretien des sépultures de guerre) pour rendre hommage à ces dizaines de milliers de combattants qui sont morts dans l'Aisne.
Le Mémorial virtuel se veut être un projet d’hommage et de recherche mettant en avant l’histoire individuelle de chacun des combattants tombés au Chemin des Dames et en la replaçant dans une histoire collective, qui est celle de la Première Guerre mondiale.

Qu'est-ce qu'une creute ?

Dans le Laonnois et le Soisonnais, on appelle "creutes" ou "boves" les multiples cavités creusées depuis des siècles dans les épaisses couches de calcaire des collines de ces territoires. Ces carrières exploitées pour la construction de maisons et d'édifices publics ou culturels ont servis parfois dès le Moyen-âge et souvent jusqu'au début du XXème siècle. Durant la Première Guerre mondiale, les creutes peuvent servir d'abris ou de cantonnement aux combattants. Tout un aménagement intérieur y fut implanté par les différentes armées : dortoirs, postes de commandement, infirmeries, chapelles, etc. et parfois des installations électriques et téléphoniques. Combattants français, allemands, britanniques et américains y laissèrent graffiti, sculptures et bas-reliefs. Les creutes ne sont généralement pas accessibles au public. Seuls la Caverne du Dragon-Musée du Chemin des Dames  aménagée dans une creute et la Carrière de Confrécourt( au Sud-Est du Chemin des Dames) peuvent être visitées.

Pourquoi tous les combattants morts au Chemin des Dames ne figurent-ils pas dans le Mémorial Virtuel ?

Ont été d'abord intégrés les combattants inhumés dans les cimetières du Chemin des Dames dont l'identité est connue, et dont les informations proviennent des registres de ces cimetières.
Les combattants sans sépulture connue sont intégrés progressivement à la demande des familles, grâce à l’intervention de contributeurs et des services du Département de l’Aisne après vérification sur les bases de données « Mémoire des Hommes » (Ministère de la Défense).
Toute personne qui le souhaite a la possibilité de participer à ce projet en proposant et/ou modifiant les fiches de combattants tombés au Chemin des Dames.

Combien de soldats sont morts au Chemin des Dames ?

On ne connaît pas aujourd'hui précisément le nombre de combattants morts au Chemin des Dames entre 1914 et 1918. Les estimations disponibles concernant ce nombre de combattants (de toutes nationalités) tués au Chemin des Dames oscillent entre 100 000 et 200 000. En recensant le nombre de combattants inhumés dans les cimetières militaires français, allemands, britanniques mais aussi italien, américain et danois, le projet du Mémorial Virtuel du Chemin des Dames s'est notamment fixé pour objectif de vérifier (autant que faire se peut) ces données collectées pour fournir  une estimation beaucoup plus fine.

Pourquoi trouve-t-on des tombes russes dans les cimetières du Chemin des Dames ?

A la fin de l’année 1915, un accord a été conclu entre le gouvernement français et la Russie du tsar Nicolas II, alliée de la France depuis 1892, qui prévoyait l’envoi sur le front français des deux brigades, soit environ 16 000 hommes.
Ces deux brigades ont participé à l’offensive Nivelle d’avril 1917 au sein de la Ve armée française (général Mazel). La 3e brigade qui est engagée dans le secteur de Berry-au-Bac (cote 108) et du Mont Spin subit de lourdes pertes et doit être relevée dès le 19 avril. Tous les morts russes des cimetières du Chemin des Dames (une centaine de corps identifiés qui reposent dans des tombes individuelles) ne sont pas tombés en avril 1917. On trouve aussi parmi eux des combattants tués en 1918 dans la Légion des volontaires russes, créée en avril 1918 avec les anciens des deux brigades qui, après la Révolution russe et l’épisode de la mutinerie du camp de La Courtine (réprimée par l’armée française en septembre 1917), ont accepté de continuer à combattre pour la France. Enfin, un certain nombre de Russes du cimetière de Pontavert sont en fait des prisonniers du front de l’Est qui étaient utilisés par les Allemands à divers travaux en arrière du front. Décédés en captivité, ils ont été enterrés dans un premier temps dans différents cimetières de la région occupée par les Allemands. A noter que les tombes russes des cimetières français portent la mention « Mort pour la Patrie ». Mais la transcription des caractères cyrilliques des noms en caractères latins ne semble pas avoir été faite avec la précision qui permettra de leur redonner à tous leur véritable identité.

D'où vient le nom "Chemin des Dames" ?

L'origine du nom "Chemin des Dames" est bien antérieure à la Première Guerre mondiale. Elle remonte à la veille de la Révolution de 1789, à une époque où on appelait "Mesdames" les filles du Roi Louis XV (les tantes de Louis XVI). En 1776, la Duchesse de Narbonne, Dame d'honneur de Madame Adélaïde, l'une des filles du Roi Louis XV, est devenue propriétaire du château de la Bove près de Bouconville et de l'Abbaye de Vauclair. En prévision d'un voyage que devaient faire à la Bove Madame Adélaïde et sa soeur Sophie, Madame de Narbonne n'a cessé de demander, à partir de 1780, à l'administration des Ponts et Chaussées la transformation en route carrossable du chemin qui allait du carrefour de l'Ange Gardien (entre Laon et Soissons, sur l'actuelle RN 2) à Corbeny (sur l'actuelle RN 44 / D1044).
Après bien des rebondissements, la "route pour les Dames" a fini par être construite au cours des années 1785 - 1789.
Il semble bien que les Mesdames de France ne l'ont jamais empruntée, une fois terminée.
En effet, dans les archives et contrairement  ce qui est souvent affirmé, on ne trouve mentionné qu'un seul voyage de Mesdames à la Bove, en 1784.
Plus d'infos dans la Lettre du Chemin des Dames n°20

Comment se fait-il qu'on trouve sur le Chemin des Dames, à Braine, un cimetière militaire danois ?

On trouve effectivement un cimetière militaire danois à Braine où se trouvent les tombes de 79 soldats danois de la province du Schlesvig qui furent enrôlés de force dans l'armée allemande pour venir combattre au Chemin des Dames.
[voir cimetière danois de Braine]

Qu'appelait-on et où se trouvait exactement le "village nègre" dont certains historiques de régiments parlent ?

Il s'agirait vraisemblablement du village de Vassogne. "Village nègre" ne désigne pas forcément une installation ou un village pour troupe de combattants noirs mais cette "appellation" péjorative voire raciste était plutôt utilisée par les poilus français pour désigner les installations sommaires dans lesquelles ils devaient souvent vivre.
Cf. "Les Croix de bois " de Roland Dorgelès

Après cette défaite (16 avril 1917) comment beaucoup de soldats français ont-ils réagi? Quelles ont été les réactions du commandement?

La défaite de l'Offensive Nivelle a été suivie d'un immense découragement chez les soldats français qui a conduit à des révoltes et aux mutineries de 1917. Suite à cette même défaite, le commandement a été modifié.
Le 15 mai, Pétain remplace Nivelle à  la tête des armées françaises du Nord et du Nord-Est.
[lien vers page « Mutins et fusillés »]

Pourquoi n'existe-t-il au Chemin des Dames qu'un Mémorial virtuel et pas un Mémorial en pierre comme à Verdun (Douaumont) ou à Notre-Dame de Lorette ?

Il existe en réalité un Mémorial du Chemin des Dames érigé à Cerny-en-Laonnois en 1951 à l’initiative du « Comité du Mémorial du Chemin des Dames », une association loi 1901 créée par un certain nombre de personnalités locales du monde ancien combattant dont l’évêque de Soissons, Monseigneur Douillard. Ce mémorial est constitué par une chapelle et une lanterne des morts au carrefour de la D 18 (Chemin des Dames) et de la D 967. La chapelle, entretenue par les bénévoles du Comité, est ouverte toute l’année. On trouve sur ses murs un certain nombre de plaques apposées par les familles ou les amicales régimentaires. Chaque année (en avril ou en mai), elle sert de cadre aux cérémonies qui ont lieu pour l’anniversaire des combats du Chemin des Dames.

[voir Page Principaux sites/Cerny-en-Laonnois]

Mon arrière-grand-père a été blessé au Chemin des Dames au printemps 1917, mais il est décédé quelques semaines plus tard dans un hôpital en arrière du front. Est-il possible d'inscrire son nom dans le Mémorial virtuel du Chemin des Dames ?

C’est justement l’une des possibilités offertes par le Mémorial virtuel dont l’ambition est de rendre hommage au plus grand nombre, sinon à l’ensemble, des combattants morts au Chemin des Dames. Cette démarche rappelle celle des autorités britanniques qui ont fait ériger dans les années 1920-1930, pour chacune des grandes batailles de la guerre, des mémoriaux sur lesquels sont gravés les noms de tous les morts de l’armée britannique, qu’ils aient ou non une sépulture connue. C’est le cas en France du Mémorial de Thiepval pour la bataille de Somme ou du Mémorial de La Ferté-sous-Jouarre pour la bataille de la Marne de 1914, et en Belgique de la Porte de Menin à Ypres.

Les soldats tombés au Chemin des Dames dont les corps ont été rendus aux familles après la guerre font-ils partis de vos listes ou s'agit-il seulement de ceux dont la dépouille sont restées sur le site dans les cimetières militaires ?

Le Mémorial virtuel du Chemin des Dames souhaite rendre hommage à l'ensemble des combattants morts ou blessés mortellement au Chemin des Dames. Aussi, les combattants dont les corps ont été rapatriés à la demande des familles font partis des combattants auxquels nous souhaitons rendre hommage, tout comme les combattants blessés / malades au Chemin des Dames et morts des suites de leurs blessures ou maladies dans des ambulances, hôpitaux, etc. loin du front.

Vous avez la possibilité de proposer la fiche d’un combattant répondant à ces critères [voir Mémorial Virtuel]

Combien de communes ont disparu dans le secteur du Chemin des Dames lors de la Première Guerre mondiale?

De nombreuses communes du Chemin des Dames ont été détruites lors des combats de la Grande Guerre. La plupart furent reconstruites après la guerre et parfois sur un site différent comme à Craonne et à Cerny. Six communes ne seront pas reconstruites : Ailles, Beaulne-et-Chivy, Courtecon, Crandelain-et-Malval, Vauclair-et-La-Vallée-Foulon, Vendresse-et-Troyon, Verneuil-Couteconne. Mais leur nom subsiste encore en partie à travers les communes auxquelles elles ont été rattachées : Chermizy-Ailles, Vendresse-Beaulne, Pancy-Courtecon, Colligis-Crandelain, Bonconville-Vauclair, Oulches-La-Vallée-Foulon, Moussy-Verneuil.

Pourquoi ce logo?

Ce logo est un monogramme résultant de l'association des deux principales lettres C et D (Chemin des Dames et Caverne du Dragon) entrelacées en un seul caractère. La typologie anguleuse de ce monogramme rappelle la dureté des combats (horizontalité, verticalité, angle à 90°).

Pourquoi le Département de l’Aisne a-t-il souhaité créer le Portail du Chemin des Dames ?

Le Portail du Chemin des Dames est l'aboutissement d'un projet mis en œuvre par le Département de l'Aisne pour promouvoir le Chemin des Dames en tant que territoire touristique chargé d'histoire et valoriser les projets institutionnels, associatifs, etc.
A travers ce site, le Département de l’Aisne, vous invite à découvrir, comprendre et visiter ce territoire imprégné d'histoire.

Comment-peut-on préparer la visite avant de venir avec ses élèves ?

Le service éducatif de la Caverne du Dragon met à disposition des enseignants des outils pédagogiques et les aide à préparer leur visite du Musée et du Chemin des Dames.

Il fournit également une aide à la préparation et à la mise en œuvre des projets pédagogiques dans le cadre des dispositifs de l'Éducation nationale et des collectivités territoriales. Il est possible de faire appel à lui dans le cadre de formations ponctuelles, comme des Formations d'Initiative Locale liées aux thématiques de la Caverne du Dragon.

Vous pouvez contacter :
• Damien KNINSKI, Responsable du Service éducatif par mail (Damien.Kninski@ac-amiens.fr )
• pour des réservations ou renseignements sur des visites scolaires : caverne@aisne.fr / tél. 03 23 25 14 18

Comment se déroule un atelier pédagogique ?

Ces ateliers sont conçus pour une seule classe (possibilité d’intervenir le même jour avec une autre classe). Ils se déroulent en présence de l’enseignant et sous son autorité. Pendant 2h, un(e) animateur(rice) propose aux élèves d’appréhender une réalité en leur faisant manipuler et découvrir  des objets et documents originaux ou fac-similés, ou écouter des témoignages de personnes ayant connu cette période.

Ces ateliers pédagogiques ne remplaçant pas les cours, il est préférable que les élèves aient déjà abordé, même succinctement, la période traitée, que ce soit en classe ou en ayant visité la Caverne du Dragon-Musée du Chemin des Dames.

Je souhaite obtenir plus de renseignements sur les contenus pédagogiques et muséographiques, qui dois-je contacter ?

Vous pouvez contacter :

Y-a-t-il une salle de restauration/ pique-nique ?

La Caverne du Dragon ne dispose pas d’espace de restauration réservé aux groupes. Suivant les conditions météorologiques, il est possible de pique-niquer en extérieur sur les pelouses entourant le musée ou encore sur le site de l’abbaye de Vauclair.
 

Les élèves peuvent-ils garder leur sac avec eux ?

Pour des raisons de sécurité, les sacs des élèves doivent rester dans le bus ou être déposés dans les casiers prévus à cet effet.

La visite est-elle gratuite pour les accompagnateurs ?

Il n’y a pas de gratuité spécifique pour les accompagnateurs. 

Combien devons-nous prévoir d’accompagnateurs ?

Prévoyez au minimum un accompagnateur pour 10 élèves. 

Je souhaite modifier ou confirmer ma réservation, qui dois-je contacter ?

Vous pouvez contacter l'accueil du musée au 03 23 25 14 18 / caverne@aisne.fr

Quel est le nombre minimum de personnes à prévoir pour bénéficier des tarifs groupe ?

Un groupe est entendu comme un ensemble de 25 personnes (minimum) à 49 personnes (maximum / visite).
[consulter les tarifs]

Combien de temps à l’avance dois-je réserver ?

Dès que vous connaissez votre date de venue ainsi que le nombre d’élèves et d’accompagnateurs.
Il y a la possibilité de poser des options en attente d’une validation définitive de l’établissement ou structure.

Qui dois-je contacter pour réserver ou pour tout renseignement d’ordre tarifaire et pratique ?

Vous pouvez contacter l'accueil du musée au 03 23 25 14 18 / caverne@aisne.fr

Quelle est la meilleure période pour venir visiter la Caverne du Dragon?

La fréquentation des groupes scolaires est très fluctuante suivant les années. Nous vous invitons à nous contacter pour plus de renseignements au 03 23 25 14 18 / caverne@aisne.fr

La Caverne du Dragon est-elle accessible en fauteuil roulant ?

Les souterrains de la Caverne du Dragon sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, ainsi que le Centre d'Accueil du Visiteur du Chemin des Dames. Un fauteuil roulant est à disposition à  la borne d'Accueil.

Les téléphones portables sont-ils autorisés dans la Caverne du Dragon ?

Les téléphones portables doivent rester éteints ou être mis sur mode silencieux.

Les appareils photos sont-ils autorisés ?

Les appareils photos ne sont pas autorisés lors de la visite guidée dans les parties souterraines de la Caverne du Dragon afin de ne pas perturber la visite du reste du groupe.

L'équipe du Centre d'Accueil du Visiteur du Chemin des Dames • Caverne du Dragon tient à la disposition de ses visiteurs des photographies, libres de droit, sur simple demande (envoi par mail).

Qui bénéficie de gratuité à la Caverne du Dragon ?

Les gratuités pour les visites de la Caverne du Dragon sont accordées aux enfants de moins de 7 ans, aux membres du Conseil international des Musées (ICOM), aux journalistes, aux Pupilles de la Nation et veuves de guerre.
Un justificatif peut vous être demandé pour bénéficier de l'entrée gratuite.

- consulter tous les tarifs -

L’accès avec poussettes est-il autorisé ?

L'accès avec poussettes est autorisé dans le Centre d'Accueil du Visiteur du Chemin des Dames et la Caverne du Dragon.

Quelles sont les activités/visites proposées aux enfants ?

  • Visite pour les enfants (6-11 ans)  : Le mercredi à 11h, en haute et basse saison.
    Réservation vivement conseillée au 03 23 25 14 18 - plus d'infos.
  • Visite pour les adolescents (12-15 ans)  : Le mercredi à 14h, en haute et basse saison.
    Réservation vivement conseillée au 03 23 25 14 18 - plus d'infos.
  • Mon P'tit guide de la Caverne du Dragon : un livret-jeu pour le jeune public, à télécharger ou disponible à l'accueil du musée.

Peut-on visiter librement ou avec un audio-guide la Caverne du Dragon ?

La Caverne du Dragon se visite uniquement accompagnée d'un guide.

Des audio-guide sont mis à a disposition des visiteurs non francophones pour une meilleure compréhension de la visite : en anglais, en allemand, en néerlandais et en espagnol.
 

Y a t-il beaucoup d'allemands qui viennent visiter la Caverne du Dragon ?

Nous accueillons quelques centaines de visiteurs allemands tous les ans. En 2016, nous avons accueilli 785 allemands sur 46 000 visiteurs de la Caverne du Dragon, soit 1,71 % de nos visiteurs. Ce chiffre est en constante progression.

Y a t-il beaucoup de galeries inaccessibles à la Caverne du Dragon ?

On connaît officiellement 3 km de galeries. Le parcours de visite actuel est d'environ 500 mètres. Toutes les galeries de la Caverne du Dragon ne sont pas visitables par raison de sécurité. 

Les jeunes générations sont-elles intéressées par la 1ère guerre mondiale et le Chemin des Dames ?

Nous accueillons entre 10 000 et 15 000 scolaires chaque année. Nous proposons également des visites adaptée pour les enfants (6-11 ans) et les adolescents (12-15 ans).

Y avait-il des toilettes dans la Caverne pendant la Grande Guerre ?

Oui, la Caverne disposait de latrines.

Comment sont organisés les temps de pose des scolaires ?

Pendant les temps de pause, les élèves sont sous la responsabilité des enseignants et accompagnateurs. Les jeux de ballons sont interdits sur le site. Nous demandons aux enseignants et accompagnateurs de veiller au respect du site et des autres visiteurs.

Le mode d’organisation de notre site implique un temps d’attente de 30 minutes minimum entre deux visites. Durant ce temps, il est possible d’occuper vos élèves en leur proposant par exemple un travail à partir des questionnaires qui sont disponibles sur notre site internet . Ces questionnaires ont différentes thématiques et sont librement adaptables au niveau de vos élèves. Vous pouvez nous contacter pour toute question concernant ces dossiers. Le chargé du service éducatif est Damien KNINSKI joignable par email Damien.Kninski@ac-amiens.fr . Il est présent à la Caverne du Dragon les mardis matin, sauf pendant les vacances scolaires – Tél. : 03 23 25 14 18.

 

D'où vient le nom "Caverne du Dragon"

Ce sont les Allemands qui, lors de leur occupation de la caverne, l'ont surnommée la Caverne du Dragon, « Drachen-höhle » en allemand car, selon les témoignages allemands, la fumée des cuisines qui s’en échappait rappelait l’antre du dragon Fáfnir, terrassé par le héros Siegfried dans l’épopée des Nibelungen.

Plus d'informations sur l'origine de l’étymologie du nom de la Caverne du Dragon.

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