Mur du souvenir

Un hommage à l'oncle de maman qu'elle n'a pas connu.

Tu as quitté ta campagne béarnaise comme tant d'autres de tes camarades pour aller défendre ton pays. A peine vingt ans et déjà confronté à la folie des hommes! Ta jeune vie sacrifiée sur l'autel de la vanité humaine. De toi, il ne reste que cette montre, donnée à ta mère sur le quai de la gare avant de partir au combat. Transmise de génération en génération, j'en suis aujourd'hui la dépositaire. Je la regarde et je pense à toi qui repose loin des tiens . Ce message pour te dire mon admiration et t'assurer que ton sacrifice n'a pas été vain. Mes pensées accompagnent ton souvenir.

Je rend hommage à Pierre mort à 20 ans qui aurait pu profiter de la vie et de sa famille. Il s'était acheté une mandoline avant de partir à la guerre, seul objet qu'il nous reste de lui. Je pense à mes enfants et à la peine de ses parents. Bien à lui. La fille de sa seour Georgette.

A mon arrière grand-père

que dire de plus mon grand pére est mort au chemin des dames le 3081917 je suis aller mettre des fleurs sur les tombes de ses copains mais hélas lui n as pas de sépulture d aprés la tranchée ou il est tomber j ai situer un champs de blés ...les coquelicots etaient fleuris ma penser va souvent vers lui et tous ceux qui sont tomber il faisait parti du 253éme RI

Je viens rendre un hommage particulier à cet aïeul afin d'entretenir le devoir de mémoire de tous ceux qui comme lui ont contribué au péril de leur vie à libéré la FRANCE.
Si des personnes détiennent d'autres archives ou autre renseignements concernant cette personne ,ou le régiment n'hésitez pas en m'en faire part. merci cordialement.

De la part de son Petit-Fils

Cette montre c'est celle que tu as confiée à ta mère, sur le quai de la gare, avant de prendre le train qui t'amenait au combat. Tu lui as assuré qu'elle ne te serait plus d'aucune utilité là-bas. Aujourd'hui, c'est moi qui en suis dépositaire. Je la regarde et je pense à toi, si jeune, qui as dû quitter ton Béarn natal pour faire ton devoir de citoyen. Savais-tu que tu allais mourir, là-bas dans ce coin de Picardie? Tu y reposes auprès de tes camarades de combat mais si loin de ta famille! Mes pensées pleines d'émotion et d'admiration t'accompagnent, toi ,le frère de ma grand-mère maternelle, fauché à 20 ans par la barbarie des hommes! Puissent les fleurs sauvages pousser sur ta tombe en t'envoyant mon hommage et mon profond respect.

Pour cette année du centenaire de la grande guerre je voulais rendre hommage au frère de mon grand-père, tué le 30 octobre 1914 a vailly /aisne et porté disparu. Il était au 287ème RI, 26ème compagnie de st quentin , natif de Bohain-en-Vermandois.

A mon grand-père que je n'ai pas connu.
Parti de Bayonne en 1914.
Mort en 1915, à l'âge de 33 ans.
Motif : guerre.

A son fils, mon père. Orphelin de guerre.
Parti de Bayonne en 1939.
Même motif.
4 ans de stalag. Revenu à Bayonne vivant.

Plus jamais ça.

Avec tout mon respect.